Genève et sa vie sociale Chirurgie plastique Comment savoir si j’ai besoin d’un lifting du visage ?

Comment savoir si j’ai besoin d’un lifting du visage ?

closeup photography of woman smiling

 

Avec le temps, la peau perd sa fermeté, les volumes se déplacent, et les traits du visage semblent se relâcher. Ce phénomène naturel — appelé ptôse cutanée — dépend de la génétique, du soleil, du stress, et du mode de vie.
Mais il n’existe pas une seule façon de rajeunir un visage : certaines personnes ont besoin d’un lifting chirurgical, d’autres peuvent bénéficier de traitements non invasifs (injections, laser, radiofréquence).

Le secret d’un résultat réussi, c’est de choisir la bonne approche pour votre morphologie, votre âge et vos attentes.
À Genève, les chirurgiens FMH en chirurgie plastique et esthétique de la Clinique Tobalem réalisent une analyse complète du visage avant toute indication.


1. Comprendre le vieillissement du visage

Le vieillissement facial ne touche pas seulement la peau :

  • la peau se relâche, devient plus fine et perd son élasticité,
  • la graisse sous-cutanée diminue ou descend, provoquant un affaissement,
  • les muscles perdent de leur tonicité,
  • l’ovale du visage se floute,
  • le cou se marque de plis verticaux.

Un lifting ne se limite donc pas à « tirer la peau » : c’est une reconstruction tridimensionnelle qui vise à remettre les tissus en tension naturelle, sans figer les traits.


2. Le lifting du visage : qu’est-ce que c’est ?

Le lifting facial (ou rhytidectomie) est une chirurgie qui consiste à remonter les tissus relâchés du visage et du cou.
Le chirurgien agit sous la peau, au niveau du SMAS (Système Musculo-Aponévrotique Superficiel), structure clé du maintien du visage.

Objectifs :

  • redéfinir l’ovale du visage,
  • effacer les plis d’amertume et le sillon nasogénien,
  • retendre le cou,
  • restaurer un aspect reposée, lisse et naturel, sans changer les expressions.

C’est une chirurgie fine, millimétrée, adaptée à chaque visage.
Un lifting bien réalisé ne donne pas un air tiré, mais une harmonie retrouvée.


3. Les différentes formes de lifting

Selon les zones concernées, plusieurs types de lifting peuvent être proposés :

• Lifting cervico-facial complet

Le plus classique et le plus global.
Il agit sur les joues, la mâchoire et le cou pour redonner un contour ferme et net.
Indiqué à partir de 45–50 ans, il traite efficacement :

  • le relâchement du bas du visage,
  • les bajoues,
  • le double menton,
  • les plis du cou.

• Mini-lifting

Technique plus légère, adaptée aux signes modérés de relâchement.
Incisions plus courtes, récupération plus rapide.
Idéal dès 40 ans pour retendre sans transformation radicale.

• Lifting temporal ou des pommettes

Corrige la queue du sourcil tombante, redonne de l’éclat au regard et du soutien aux pommettes.
Souvent combiné à un lifting du cou ou à des injections de comblement.

• Lifting du cou

Cible la région sous-mentonnière et les cordes verticales du platysma.
Permet de redessiner un cou lisse et un menton dégagé, souvent associé au lifting facial.


4. Quand un lifting devient nécessaire

Certains signes orientent vers une indication chirurgicale :

  • relâchement visible de la mâchoire ou du cou,
  • bajoues formées malgré une peau fine,
  • perte du galbe des pommettes,
  • plis profonds qui ne s’estompent plus avec les soins,
  • ou manque d’expression positive du visage malgré un bon sommeil.

Ces signes apparaissent souvent entre 45 et 65 ans, mais l’âge n’est pas une règle : tout dépend de la qualité de la peau et de la génétique.


5. Quand les traitements non chirurgicaux suffisent encore

Avant d’envisager un lifting, le chirurgien évalue toujours si d’autres traitements peuvent suffire :

  • injections d’acide hyaluronique pour restaurer les volumes,
  • toxine botulique (Botox) pour détendre les rides d’expression,
  • radiofréquence ou ultrasons HIFU pour stimuler le collagène,
  • laser ou peeling pour améliorer la texture et l’éclat de la peau.

Ces traitements sont adaptés lorsque le relâchement est léger à modéré.
Mais lorsque la peau et les muscles s’affaissent réellement, seul un lifting peut corriger la cause structurelle du vieillissement.


6. Le déroulement de l’intervention

  • Anesthésie : locale avec sédation ou générale selon la zone.
  • Durée : entre 2 et 4 heures selon la complexité.
  • Incisions : dissimulées dans les cheveux et autour de l’oreille, pour rester invisibles.
  • Technique : remise en tension des tissus profonds (SMAS), repositionnement des volumes, excision du surplus cutané.
  • Hospitalisation : souvent ambulatoire ou 1 nuit à la clinique.

Le résultat est visible après quelques semaines, et s’améliore encore sur plusieurs mois, lorsque la peau retrouve sa souplesse naturelle.


7. La récupération et le suivi

  • Gonflement et ecchymoses : 1 à 2 semaines.
  • Reprise du travail : après 10 à 14 jours.
  • Reprise du sport : après 4 à 6 semaines.
  • Résultat stable et naturel : entre 3 et 6 mois.

Un suivi post-opératoire régulier permet d’assurer une bonne cicatrisation et de maintenir le résultat dans le temps.
Les patientes décrivent souvent un effet rajeunissement de 8 à 12 ans, avec un visage plus ouvert et lumineux.


8. Lifting et expressions naturelles

L’un des grands atouts de la chirurgie esthétique moderne, comme pratiquée à la Clinique Tobalem, est de préserver les expressions.
Un lifting réussi ne fige pas le visage :
il remet les volumes à leur place, redonne du tonus et de la fraîcheur, sans trahir la personnalité du patient.

Le chirurgien cherche un équilibre subtil entre tension et douceur, afin que le visage reste vivant, mobile et harmonieux.


9. Le lifting personnalisé : chaque visage est unique

Aucun visage ne vieillit de la même manière.
C’est pourquoi la chirurgie esthétique moderne ne propose plus un « lifting standard », mais une stratégie individualisée :

  • âge biologique de la peau,
  • position des volumes,
  • symétrie,
  • attentes esthétiques (naturel, raffiné, plus marqué).

Une consultation préopératoire détaillée permet au chirurgien d’établir un plan sur mesure.
Parfois, un lifting est associé à :

  • une blépharoplastie (paupières),
  • un lipofilling du visage (graisse autologue),
  • ou un traitement laser de la peau pour un résultat globalement rajeuni.

10. Le choix du chirurgien : un facteur déterminant

Le lifting est un acte chirurgical de précision.
Il doit être confié à un chirurgien FMH en chirurgie plastique, reconstructive et esthétique, formé aux techniques modernes de repositionnement des tissus.
À Genève, la Clinique Tobalem est reconnue pour ses protocoles de sécurité, la qualité de ses structures opératoires et la rigueur de son suivi post-opératoire.

Avant toute décision, le chirurgien vous remet :

  • un devis détaillé,
  • un document d’information médicale,
  • et un délai de réflexion avant l’intervention.

11. En résumé

Situation Technique conseillée Objectif
Relâchement léger, peau élastique Traitements non chirurgicaux Raffermir sans chirurgie
Relâchement modéré Mini-lifting Corriger sans transformation
Relâchement marqué du bas du visage ou du cou Lifting cervico-facial Redéfinir l’ovale et retendre les tissus
Regard fatigué, tempes tombantes Lifting temporal Ouvrir le regard et rehausser le sourcil

Le bon choix dépend de la morphologie, de l’élasticité de la peau et du souhait de résultat.
Seule une consultation personnalisée permet de déterminer la meilleure approche pour un résultat à la fois naturel et durable.


Contacts — Clinique Tobalem


💬 Conseil du chirurgien FMH :
Ne jugez pas votre visage sur une photo ou une ride. Le bon moment pour envisager un lifting, c’est quand l’image que vous renvoie le miroir ne correspond plus à ce que vous ressentez intérieurement.
Une approche individualisée, comme celle proposée à la Clinique Tobalem, permet d’obtenir un résultat naturel, harmonieux et durable, sans trahir votre expression.

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